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CHARLIER / SOURISSE MULTIQUARIUM QUARTET le 9/05/2014 le 02/03/2014
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André Charlier et Benoît Sourisse

André Charlier et Benoît Sourisse

Au Jazz Club La Ferme à Gouvieux le 09/05/2014 à 21h:

CHARLIER / SOURISSE MULTIQUARIUM QUARTET:

Benoît Sourisse

Benoît Sourisse

  • Claude Egéa, trompette
  • Pierre Perchaud, guitare
  • Benoît Sourisse, piano, orgue hammond B3
  • André Charlier, batterie, percussions

Vous êtes invites de regarder et écouter quelques extraits sur :

Plus d’info sur www.charliersourisse.com

RESERVATION : CHARLIER / SOURISSE

Vendredi 9 mai 2014 à 21h
A  La Ferme, 24 rue de la Mairie, Gouvieux
Réservation auprès de Jocelyne, +33 6 8360 9595 ou sur email michelkus@hotmail.com
Participation 13 Euro

Visitez également notre site web : www.jazzoise.org

Jazzicalement – Med vänliga hälsningar
/Jahrl Stefan Norberg

CHARLIER/SOURISSE:

Un duo incontournable du jazz européen.  Après quatre albums avec des collaborations prestigieuses Jerry Bergonzi, Kenny Garrett, Kurt Rosenwinkel et Alex Sipiagin :

LE 5EME OPUS :“MULTIQUARIUM”

André Charlier

André Charlier

Les chemins empruntés durant toutes ces années par André et Benoît, au cours de leurs nombreux périples, les ramènent aujourd’hui la tête remplie de mélodies insolites, nourries aux « grooves » sauvages de leurs rythmiques de feu, « piano, contrebasse,   batterie ».

Leur « Multiquarium » telle une jungle déjantée et poétique, ressemble à un écrin bouillonnant d’histoires improbables.  Il en jaillit neuf pièces dont l’optimisme incorrigible est une réelle invitation à la danse. Pour donner souffle et vie à cette musique, les deux compositeurs ont choisi de rester fidèles aux musiciens qui sont à leurs côtés depuis des années : Claude Egéa, Stéphane Guillaume, Pierre Perchaud et Jean-Michel Charbonnel.

Les voix des flûtes et du saxophone, mêlées à celle de la trompette, se glissent dans l’écriture comme dans un costume sur mesure, sublimant le son  « Charlier/Sourisse »  désormais en pleine maturité.

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 » Charlier / Sourisse, c’est comme Thad Jones et Mel Lewis, sauf qu’à eux deux, ils ont la clé : l’un est batteur, l’autre pianiste et organiste.  On pourrait résumer le topo à cette équation rythmico-mélodique.

Le temps aidant, la colle fraternelle a soudé les derniers interstices de leur PACS musical.

Leur jazz me fait penser aux lithos de Louis Lozowick qui évoquent cette urbanité verticale, ces gratte-ciel qui se jouent de l’ombre et de la lumière.  Comme un jeu de Lego entretoisé multipliant les lignes de fuite, les superpositions, les à-pics vertigineux.

Il faudrait employer un terme nouveau pour dire qu’André Charlier et Benoît Sourisse sont dans l’ère du postquelque chose, menant sans tapage leur affaire quelques miles en avant du peloton : après le Wayne Shorter d’Atlantis, après le Quindectet de Michael Brecker ou les feux sans artifices que Jim Beard aime tirer de loin en loin.

Une telle musique, faite de tracés recta, de chicanes et de virages en dévers ne peut se faire sans pilotes de course. Stéphane Guillaume et Claude Egea sont deux Ferrari peintes en bleu, Pierre Perchaud apporte son phrasé de danseur de corde et Jean-Michel Charbonnel joue les pacemakers.

En allant au bout d’eux-mêmes, André Charlier et Benoît Sourisse cultivent pourtant un coin de grenier : la virtuosité -écrite ou improvisée-  est campée sur une histoire.  En plein jour ou cachés derrière, il y un bois flotté art brut, un pas gaélique, un quatre temps réformé dont les cylindres scandent leur tournerie vaudou ou s’amusent à faire toussoter la métrique apparente. 

C’est la grandeur de ce disque : il a mis quelques vieilles poutres dans son béton savamment armé. 

Finalement, c’est du précisionnisme lyrique : vous l’avez bien cherché ! « 

François LACHARME, Jazz Magazine/Jazzman – Président de l’Académie du Jazz

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La jubilation de jouer ensemble, une générosité communicative. Leur musique se déverse sur le public comme un flot d’enthousiasme.

Depuis une vingtaine d’années et plus de mille concerts,Charlier et Sourisse approfondissent une relation musicale et humaine d’une qualité et d’une longévité exceptionnelle.

Cette impression est largement confirmée lorsqu’on les voit aux côtés de Didier Lockwood, Kurt Rosenwinkel,Kenny Garrett, Jerry Bergonzi, John Mac Laughlin,TootsThielemans,Captain Mercier, Alex Sipiagin, Philip Catherine, Stéphane Guillaume…

Charlier Sourisse: Gemini (2001), Eleven Blues (2004), Heritage (2007)

André Charlier

Né à VERVIERS (Belgique) le 13 juin 1962. André a débuté la batterie en 1978. Il a étudié au Musicien Institute de Los Angeles en 1985-1986. En 1988-1989, il entama une série de tournées avec la chanteuse Maurane. À la fin de cette année 1989 il a été Lauréat du concours de la Défense. En 1991, il se voit décerné le Prix du meilleur soliste au concours international de jazz francophone. André Charlier tourne depuis 1993 sur les scènes du monde entier aux côtés d’artistes tel que Didier Lockwood (quintet, quartet et trio), l’harmoniciste Jean-Jacques Milteau , Philip Catherine, Jerry BERGONZI, Kurt Rosenwinkel, Wolfgang Muthspiel, Migthy Mo Rodgers, Stéphane Guillaume, Pierre Perchaud, Jean-Marie Ecay , Captain Mercier, John Scofield, Michel Petrucciani, Scott Henderson, Michel Portal, Toots Thielemans, Mike Stern, Kenny Garrett, Jean-Michel Charbonnel, Olivier Ker Ourio, Pierrick Pedron…. Depuis quelques années, il développe sa propre musique au sein du duo « CHARLIER – SOURISSE ». avec lequel il a enregistré quatre CD : « Gemini » en 2001, « Eleven Blues » en 2004, « Héritage » en 2007 et « Imaginarium » en 2010. Co-auteur avec Benoît Sourisse des Cahiers « Charlier-Sourisse » méthode de jazz éditée aux éditions Leduc.  André Charlier est co-directeur et responsable du département batterie au CMDL (centre des musiques Didier LOCKWOOD). Sponsorisé par les batteries TAMA et les cymbales PAISTE.

Benoît Sourisse

Né en 1964, ce pianiste/organiste français a déjà révélé ses talents d’improvisateur en tant que soliste, mais aussi aux côtés d’incontournables personnalité du jazz. En 1994, Didier Lockwood lui propose de participer à ses différents projets: au piano, en quintet et quartet (« Round About Silence », 1998 ) ainsi qu’à l’orgue Hammond (D. Lockwood trio et le « New Quartet » 2003). Didier lui confie également la direction musicale de ses albums: « Storyboard » enregistré en 1996 à New York (Steve Gadd, James Genius, J.Di Francesco..) – « Journal d’un Usager de l’Espace 2 » (en 1999, Opéra de D.Lockwood et Charlotte Nessi sur un livret de G.Perec). Benoît en réalise les orchestrations. « Tribute to Stéphane Grappelli » (en 2000 avec Bireli Lagrène et N.H.O.P). Ces nombreuses tournées lui donnent l’occasion de partager la scène avec Michel Petrucciani, Martial Solal, John Scofield, Michel Portal, Mike Stern, Toots Thielemans … Et ceci le plus souvent avec son « alter ego »; André Charlier (à la batterie) avec qui il travaille depuis plus de quinze ans. Ils consacrent tous deux une grande énergie à leur duo « Charlier / Sourisse ». Leur album « Gemini » (où Benoît mêle les sonorités de l’orgue Hammond à celles du piano) sorti en avril 2001 présente, outre des invités talentueux de la nouvelle génération française tels que Stéphane Guillaume (soprano sax) et Olivier Ker Ourio (harmonica), un des plus appréciés des saxophonistes ténors actuels, Jerry Bergonzi. Grand passionné de Blues, co-fondateur en 1989 du groupe « CAPTAIN MERCIER »; avec lequel il a donné plus de 900 concerts, Benoît travaille également aujourd’hui aux cotés de Jean-Jacques Milteau au sein de ses différentes formations (du duo au septet). Passionné de pédagogie, Benoît Sourisse enseigne l’improvisation au Conservatoire National Supérieur de Musique de Lyon depuis 1988, ainsi qu’à travers de nombreux « Masterclass » dans toute la France.

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