Sweet System le 10/05/2013
Bonjour à Tous,
Enfin c’est mai. L’été s’installe… lentement ! Le jazz à Gouvieux va vous donner un avant-goût pour l’été superbe qui arrive!
L’association Jazz Club La Ferme est très heureuse de pouvoir vous présenter et accueillir SWEET SYSTEM, un trio vocal féminin, avec ses musiciens.
SWEET SYSTEM, c’est « three swinging ladies » associant, dans une vraie osmose, une qualité vocale, un instinct harmonique, un charme certain, une élégance naturelle et un humour rare ! Leurs voix sont suaves et indissociables. Leur concert est également un vrai show jubilatoire. SWEET SYSTEM a remporté le Grand Prix des Révélations Jazz de Jazz à Juan.
SWEET SYSTEM est composé par les chanteuses :
Et entourées par les musiciens :
Elles proposent un jazz ouvert, un mélange de grands standards, de compositions, de reprises pop en jazz tout en gardant une bonne proportion de swing (Mingus, Beatles, Colette Renard, Rodgers and Hammerstein, James Moody, Pointer Sisters, Cole Porter…). Chaque concert a également ces moments a capella.
Vous pouvez regarder et écouter SWEET SYSTEM sur :
en 2010 :
en 2007 :
http://www.youtube.com/watch?v=jVkcQelQF10
En première partie de la soirée viendra le duo chant NORAJEM.
RESERVATION :
Vendredi 10 mai 2013 à 21h
A La Ferme, 24 rue de la Mairie, Gouvieux
Réservation auprès de Jocelyne, +33 6 8360 9595 ou sur email michelkus@hotmail.com
Participation 13 Euro
Jazzicalement – Med vänliga hälsningar
/Jahrl Stefan Norberg
Le trio vocal SWEET SYSTEM se constitue en 1994 et chante alors essentiellement le swing des années 30-40 dans le secteur privé.
En 2004 la rencontre avec le vibraphoniste Dany DORIZ s’avère décisive pour le trio qui amorce alors un nouveau volet de sa carrière. Il leur propose d’enregistrer un album ensemble.
L’album JAZZ FEVER est enregistré chez Black & Blue / Night & Day et marque l’ouverture à un nouveau répertoire de grands standards du jazz (Gershwin, Cole Porter, Lionel Hampton, Benny Goodman…).
Les trois chanteuses signent alors la création d’arrangements jubilatoires, audacieux, aux rythmes inventifs, laissant apparaître leurs multiples influences dans les harmonies vocales.
Leur qualité scénique, spontanée et communicative a conduit ce trio féminin à remporter le Grand Prix des « Révélations Jazz à Juan les Pins ».
Aujourd’hui SWEET SYSTEM continue à se produire avec le Dany Doriz Big Band.
Elles ont enregistré leur 2ème album en octobre 2012 : « Living in Paris »
[Article dans Tele7 jours] – En 1994 Martineke Kooistra crée SWEET SYSTEM, trio vocal de jazz au féminin, version moderne des big band qui firent les beaux jours du swing dans l’Amérique des années 20-30. De l’intimité des soirées privées, les trois ladies surgissent au grand jour sur la scène des Festivals.
Et si capitaine Martineke excelle un temps sur le petit écran, en petit mousse hollandais de Christine Bravo dans Union Libre (sur France 2), elle tient bon la barre de Sweet System.
D’abord adoubé par Jean-Michel Proust, alors directeur de la radio TSF, institution dans le monde du Jazz, le groupe prend un nouvel envol en 2004 sous l’impulsion du vibraphoniste Dany Doriz, figure majeure du Jazz Swing en France, et enregistre son premier album, Jazz Fever. Les chanteuses élargissent leur répertoire, se taillent un swing sur mesure et nous arrangent des mignardises à trois voix enrobées d’un piano, d’une contrebasse et d’une batterie. Leur inventivité emballe Natalie Dessay et enflamme le Festival Jazz à Juan qui les couronne du Grand Prix Révélations.
Du Brésil à Marciac, de Tanger à Paris, Sweet System trace désormais son sillon dans le monde du jazz. Car leur talent inclut une maîtrise parfaite de l’harmonie vocale et un sens inné du spectacle. Glamours et élégantes, audacieuses et mutines, avec un « je-ne-sais-quoi » d’Audrey Hepburn, elles offrent un show jubilatoire, accessible à tous.
Le burlesque y côtoie l’émotion, la sensualité y frôle l’humour. Amanda Fahey, Martineke Kooistra et Fanny Werner font preuve d’une liberté qui transpire dans leur nouvel album Living in Paris. Chez elles, pas de conformisme mais la quintessence de ce qu’on appelle « avoir le groove ».
// écrit par Emmanuelle Touraine (Journaliste Télé 7 jours)